Après la Seconde Guerre mondiale, le Haras national de Rodez continue à utiliser ses voitures hippomobiles - une dizaine - et à faire perdurer ainsi les techniques de l’attelage.
Aujourd’hui, les vingt Haras nationaux conservent près de 300 voitures qui ont été construites dans la seconde moitié du XIXe siècle et au début du XXe siècle.
Un break de chasse grand modèle (marque de fabricant : Cotel, à Paris, n° 787). Photographie couleurs. [2006-2010]. [Haras national de Rodez].
Le break est à l’origine destiné au dressage des jeunes chevaux. Il est adopté massivement par les haras nationaux, au point de devenir le symbole de leur équipage. Les Anglais ont adapté les premiers la charrette au transport des personnes, d’où le nom de cette voiture qui est surtout utilisée à la campagne.
Une charrette anglaise. Photographie couleurs. [2006-2010]. [Haras national de Rodez].
Un squelette (marque de fabricant : Lelorieux à Paris). Photographie couleurs. 25 septembre 2012. [Coll. particulière, Claudette Bruna].
Le squelette, qui est un type de break, sert à l’exercice quotidien des chevaux, et surtout des plus jeunes. On l’attèle à deux chevaux, un déjà dressé et un, à dresser.
Un omnibus (marque de fabricant : Lelorieux à Paris, provient du haras national de Blois). Photographie couleurs. 25 septembre 2012. [Coll. particulière, Claudette Bruna].
L’omnibus permet le transport des voyageurs et de leurs bagages.
Archives départementales - 25 avenue Victor Hugo - 12000 Rodez