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1. La fabrication d'un manuscrit

 

Confectionner un manuscrit est un processus long et complexe. Le coût élevé de la matière première (parchemins, encres et pigments) et le travail de plusieurs artisans et artistes font du livre un objet d'art et sacré.

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2. La fabrication du livre


Au IIème siècle, apparaît le parchemin. Plus solide, il remplace peu à peu le papyrus.

Le parchemin est fabriqué à partir de peaux d'animaux. Il est un support idéal pour le copiste car il peut-être écrit sur les deux faces et être assemblé en cahier.

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3. Ateliers et copistes

 

 Après la chute de l'Empire romain, l'Eglise assure la conservation et la diffusion du savoir et de l'écrit.

Monastères et cathédrales sont désormais des lieux où s'écrivent les livres, textes bibliques et ouvrages liturgiques.

Dans des ateliers appelés scriptoria, les copistes utilisent différents instruments : la règle, la pointe de plomb pour tracer lignes et marges, le roseau (calame) peu à peu remplacé par des plumes d'oiseaux taillées au couteau, de la mie de pain en guise de gomme.

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4. La lettre ornée


 Véritable élément de décor plus que repère visuel pour les lecteurs, la lettre ornée est utilisée dès le VIème siècle en Italie pour identifier les différents paragraphes du texte.

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5. Le style monochrome de Clairvaux

 

Le Légendier de Clairvaux et ses annexes sont décorés de grandes initiales ornées, à décor végétal et monochrome dit de Clairvaux.

Le règlement édicté par l'Ordre Cistercien concernant la décoration des manuscrits est bien connu.

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6. Au cours de calligraphie

Monsieur Georges Unal, calligraphe amateur, est venu nous faire une démonstration d'écriture calligraphique.

Nous vous exposons ici, le résultat de sa participation.

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