Elle attribue des primes lors de concours d’élevage réservés aux femelles de races lourdes et dans le cadre de contrats d’élevage. Par ce contrat, l’éleveur s’engage à maintenir une jument lourde à la production.
La technique de la monte en liberté est employée en 1978 pour améliorer le taux de fécondité des juments. Dès avril 1979, le haras national de Rodez et l’Institut national de recherche agronomique (INRA) de Theix mènent une expérience d’engraissement des poulains à l’herbe à Combelles.
Ils forment des groupements de producteurs pour commercialiser leurs produits et recevoir des aides du ministère de l’Agriculture :
Troisième édition du salon « Á tous traits » organisé par le Syndicat des éleveurs de chevaux de trait de l’Aveyron au haras national de Rodez du 17 au 18 septembre 2011. [Arch. dép. Aveyron, PER 563, La Dépêche du Midi, 15 septembre 2011, p. 33.]
Le marché de la viande de cheval est très incertain et dès la fin des années quatre-vingt, dans un souci de diversification, le haras national de Rodez encourage l’utilisation attelée des chevaux de trait : débardage, attelage de loisir ou sportif. Il organise des concours spécifiques d’attelage et crée une catégorie « épreuve d’utilisation » dans les concours locaux d’élevage.
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